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Tadjikistan : une aventure sur deux roues

Tadjikistan : une aventure sur deux roues Avec cet article de blog nous vous emmenons dans un endroit exotique, dans l’Asie la plus continentale: le Tadjikistan. Les protagonistes de cette histoire sont Fabio et Mirco, deux amis – et amis de CAMCO – qui en septembre ont pris un vol de Milan Malpensa à Istanbul et, après une escale d’environ 3 heures, sont partis pour Douchanbé, la capitale du Tadjikistan. Avec eux, ils avaient leurs deux vélos, une tente et tout ce qui pouvait les rendre aussi indépendants que possible avec un minimum d’espace. Douchanbé n’était pas leur destination finale. Ici, en effet, ils ont pris un taxi collectif et, après un trajet d’environ 12 heures, ils sont arrivés à Rŭshan, à environ 500 km à l’est. Rushan est une petite ville d’environ 6 500 âmes, située à 2 000 mètres d’altitude, à la frontière avec l’Afghanistan. Les protagonistes de cette histoire sont Fabio et Mirco, deux amis – et amis de CAMCO – qui en septembre ont pris un vol de Milan Malpensa à Istanbul et, après une escale d’environ 3 heures, sont partis pour Douchanbé, la capitale du Tadjikistan. Avec eux, ils avaient leurs deux vélos, une tente et tout ce qui pouvait les rendre aussi indépendants que possible avec un minimum d’espace. Douchanbé n’était pas leur destination finale. Ici, en effet, ils ont pris un taxi collectif et, après un trajet d’environ 12 heures, ils sont arrivés à Rŭshan, à environ 500 km à l’est. Rushan est une petite ville d’environ 6.500 âmes, située à 2.000 mètres d’altitude, à la frontière avec l’Afghanistan. En plus de cela, Mirco nous raconte quelques curiosités, sensations et expériences : Les gens sont « extrêmement hospitaliers » et il ne se souvient pas combien de personnes lui offraient du thé chaque jour, dans la rue ou à la maison.Dans la première moitié du voyage, la nuit se faisait dans des pensions ou sous des tentes, mais dès lors, ne trouvant plus de logement, ils comprirent qu’il suffisait de demander aux personnes rencontrées dans un village d’être les bienvenus chez eux, ou de leur accorder le jardin pour pouvoir y placer la tente. Il en va de même pour la nourriture : lorsque vous demandiez où dîner ou prendre votre petit-déjeuner, des produits locaux étaient proposés et préparés (notamment du lait, des œufs, des fruits et des légumes), pour lesquels Mirco et Fabio avaient toujours envie de laisser une offrande, puisque personne leur a jamais demandé de l’argent en échange de cette hospitalité.En revanche, dans les quelques magasins des grands villages, l’offre alimentaire laissait beaucoup à désirer – principalement des snacks et des aliments industriels, souvent périmés. Une curiosité récurrente quand on entend les récits de ceux qui ont voyagé dans des lieux exotiques fait référence à d’éventuelles rencontres avec des animaux sauvages : dans ce cas Mirco dit avoir rencontré des chameaux pour la première fois de sa vie, libres de parcourir les plateaux, dans l’état sauvage. . P.S. Pour mémoire, ils n’ont jamais eu de problèmes d’aucune sorte, hormis quelques crevaisons… mais il est physiologique d’avoir ce genre de désagréments quand on enchaîne autant de kilomètres, surtout sur des routes non goudronnées. Un désagrément prévu et accueilli avec sérénité. Enfin, une curiosité qui nous est propre sur le comportement des T-Shirts Bulètt et Bisbìn de CAMCO, que Fabio et Mirco connaissaient bien avant cette aventure, mais qui avec cette aventure ont été testés dans des situations très éloignées de la vie quotidienne, même si de ceux qui ont une vie active. Ils appréciaient déjà depuis longtemps les qualités liées au confort thermique, à la capacité à éviter le développement d’odeurs même lors d’une utilisation intense et prolongée, à la gestion exceptionnelle de l’humidité corporelle, et avaient ainsi décidé de les ajouter à leur bagage, conformément à la démarche «quelques éléments fonctionnels». En conclusion, ils peuvent ajouter que ne pas avoir eu la possibilité de laver les vêtements tous les jours n’était pas un problème pour les t-shirts, car ils n’étaient pas chargés d’odeurs et d’humidité, et en effet : ils choisissaient souvent de ne pas les laver même s’ils en avait la possibilité car s’ils se retrouvaient aussi frais qu’au début de l’étape. …et, les rares fois où ils ont voulu les laver, ils ont été satisfaits d’une qualité supplémentaire du tissu laine mérinos + TENCEL™: l’extraordinaire rapidité de séchage! Ci-dessous de nombreuses photos de ce voyage à vélo sur les routes de montagne du Tadjikistan. Beaucoup… mais encore seulement une petite partie de tous ceux que Mirco et Fabio nous ont montrés. Il a été difficile de les sélectionner. Nous voulions nous en tenir à une dizaine de photographies, mais il y en avait trop qui ne pouvaient tout simplement pas être exclues. Bonne vue! Le premier tronçon, qui longe l’Afghanistan et le corridor de Wakhan Autonome, toujours! Mirco et l’Afghanistan au-delà du fleuve L’Afghanistan au-delà du fleuve Déjeuner avec des camionneurs près d’une source d’eau chaude Les premiers “6.000” afghans en arrière-plan Drapeaux tadjiks Tentes démontées, prêtes à commencer la journée Fabio et les “6.000” afghans en arrière-plan Couloir de Wakhan, Alichur Pamir, Murghab, Ak-Baital Le couloir Wakan Fabio, Mirco et l’Afghanistan vus depuis le corridor de Wakan Maison typique du Pamir Lac avant Alichur L’autoroute du Pamir, à plus de 4.000m d’altitude. Murghab Le col d’Ak-Baital Descente d’Ak-Baital vers la vallée de Bartang Vallée du Bartang Vallée du Bartang Vallée du Bartang Vallée du Bartang Fabio et la yourte de quelques bergers La rivière Bartang Différents niveaux de durabilité Un Bulètt rouge profite de la vue Fabio attend dans un restaurant le long de l’autoroute du Pamir Quelques-unes de nos photographies préférées, commandées au hasard Retour à tous les articles

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